Que faire juste après le déconfinement ?

C’est bientôt fini, les amis ! Et oui, notre libération conditionnelle approche maintenant à très grands pas !

Mais alors, que faire en premier ? À chacun ses envies et ses priorités. Pour certains, ce sera d’aborder cette sortie avec classe et dignité. Pour d’autres, de s’adonner à un plaisir coupable qui leur a beaucoup trop manqué. Petit tour d’horizon des (enfin) possibles.

Voir ses potes

Toutes les célébrités interrogées sur la question prétendent qu’elles iront voir leur famille, leurs vieux parents…C’est faux. Comme nous tous, ils iront d’abord retrouver des copains. Car Zoom, Skype, et House Party, ça va bien un moment. Mais là vraiment, on a juste envie de vrais amis, en chair et en os. Pour boire des coups, se chambrer, discuter… Se voir, quoi !

Redevenir présentable

Tous les soins corporels sont envisageables : coiffure / pédicure / manucure / épilation / barbier / etc… On ne va pas se mentir, vous n’êtes plus le même qu’il y a deux mois, en terme d’apparence. Votre aspect physique est négligé et brouillon, et psychologiquement, rien de tel qu’un bon glow up pour se réinsérer dans la société avec dignité. Un conseil : prenez rendez-vous maintenant, la France comptant actuellement 70 millions d’hommes et de femmes de Cro-Magnon. Attention, après 55 jours, vous avez peut-être le cerveau un peu ramolli. Quoi de plus normal ? Pensez fort à votre code de CB avant d’être en panique à la caisse. Votre ado est peut-être dans la même situation. Pas de crainte, s’il a une carte Pixpay, il pourra retrouver son code directement dans son app ! De quoi vous rendre jaloux !

Être enfin seul

Nous sommes nombreux à avoir dû vivre en permanence avec les enfants et un conjoint pendant ces presque deux mois. Objectivement, c’est épuisant d’être tout le temps entouré (cerné ?). Très logiquement, vous n’avez qu’une envie : que tout ce petit monde retourne à l’école, au collège, au lycée, au boulot ou tout simplement dans la rue ou chez des copains, et d’être enfin SEUL. Comme on vous comprend.

Manger de la junk food

Depuis deux mois, on se fait à manger. Et ça commence à bien faire. On a tous envie d’un truc bien fat, bien junk, bien industriel. Ça aura probablement fait du bien à votre corps de s’en passer pendant 55 jours, mais nous avons bien mérité un gavage en bonne et due forme. Alors au choix : kebab, fast food, tacos, falafel, burritos… Peu importe, du moment que ça casse le bide.

Faire du shopping

Ne mentez pas. À part les sous-vêtements, vous ne vous êtes pas changé plus de 10 fois en 55 jours. Vous baignez dans votre jus, vous en avez marre d’être en jogging, vous ne supportez plus vos fringues. C’est absolument normal. Pourquoi ne pas aller se procurer une belle pièce en magasin, de type bijou-vêtement-chaussures, qui vous donnera un surplus de confiance et fera de vous le paon de ce déconfinement ? Attention néanmoins : distanciation sociale d’un mètre, lavage des mains… C’est une évidence. Et pour sortir faire du shopping en toute sécurité, utilisez votre CB et payez sans contact dès que vous le pouvez. Option possible pour votre ado aussi avec sa carte Pixpay.

Lâcher la bride à votre ado (mais pas trop)

Depuis 55 jours, il baigne dans son jus. Il ne supporte plus ses vêtements, et ne vous supporte plus non plus d’ailleurs. Qu’il aille donc se procurer une ou deux belles pièces d’habillement dans une échoppe à tissus, bon sang ! Il l’a bien mérité. Néanmoins, attention à l’euphorie du jeune chien fou lâché dans une zone commerciale bien achalandée. Pour éviter qu’il ne s’enflamme trop et qu’il ne crame tout son argent en 2 jours après 2 mois sans rien dépenser, prenez-lui une carte Pixpay : vous pourrez lui fixer un plafond de dépenses directement depuis votre app.

Marcher loin et pas longtemps

Les randonneurs le savaient déjà. Nous autres, nous allons peut-être le découvrir, maintenant qu’on nous l’a provisoirement interdit. Mais marcher longtemps, sans but, se perdre volontairement, sans limite de temps ou de distance est un immense kiffe. Un aller simple pour nul part, s’il vous plaît.